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« UNE
FONTAINE FAIT-ELLE JAILLIR PAR UNE MEME OUVERTURE
LE
DOUX ET L’AMER ? »
«
LA BÉNÉDICTION ET LA MALÉDICTION »
— Jacques
3 : 11
Il ne devrait pas en être ainsi, et il n’en
est pas ainsi de C. T. Russell. Hors de la bouche qui loue Dieu, il ne devrait
pas sortir ce qui est nuisible aux frères — ou à qui que ce soit. La même
fontaine ne peut fournir de l'eau salée et de l'eau fraîche, ainsi nous ne
pouvons être des copies du cher Fils de Dieu, ni être dignes pour le Royaume,
aussi longtemps que nous aurons une telle disposition.
Nous
devons être des conquérants, des vainqueurs. Et la bataille de chacun de nous,
se livre à l'intérieur de nous-même. Cependant notre victoire aux paroles du
Seigneur, « Bon et fidèle serviteur »,
ne seront pas pour nous à moins que notre cœur parvienne à dominer notre
langue et à obtenir la victoire sur l'impureté et le manque d'amour sans
plus les tolérer en aucun sens ou aucune mesure.
Jusqu'à sa destruction totale, l'adversaire complotera le mal. Même quand les adversaires de frère Russell sont confondus, ils continuent à présenter leurs calomnies. Ne pouvant pas combattre les vérités données par ce Serviteur, ils salissent son nom, sa personne, sa réputation.
L'explication
du prétendu symbole égyptien
sur les ouvrages de C. T. Russell est simple et se trouve en Malachie 4 :
2 « Et pour vous qui craignez (dans le sens de
révérer) mon nom (dans le sens d’Etre et de
caractère) se lèvera le soleil (le cercle)
de la justice (Jésus et Son Église élue) ;
et la guérison (de la malédiction adamique)
sera dans ses ailes (ses rayons de grâce et de
Vérité) ». Le
cercle représente le Soleil de Justice dont le grand Centre est notre
Seigneur Jésus
« Car comme l’éclair [soleil]
sort de l’orient et apparaît jusqu’à l’occident, ainsi sera la venue du
fils de l’homme
» Matth. 24 : 27,
vol. 4 p. 641 paragraphe 1… Les deux ailes
représentent l'Ancien et le Nouveau Testament ; leurs révélations ayant bien
été faites par le Logos. Les rayons correspondent bien aux rayons du
soleil voir Habakuk 3 : 4
«
Et
sa splendeur était comme la lumière : des rayons lui jaillissaient de la
main ; et là se cachait sa force »
et
Esaïe 40 : 22
«
Lui,
qui est assis au-dessus du cercle de la terre, et ses habitants sont comme des
sauterelles, — qui étend les cieux comme une toile légère, et qui les déploie
comme une tente pour y habiter
». Dans ses commentaires, en
anglais, frère Russell donne de très nombreuses explications sur Malachie 4 :
2.
Frère
Russell n'a sûrement jamais désiré un symbole égyptien. Nous devons avoir à
l'esprit que les premières éditions des volumes portaient le titre « Aurore
du Millénium »
; or, on peut supposer que ce
« symbole »
conservé par frère Johnson et frère Jolly (successeurs de C. T. Russell)
correspond à la page
IV des volumes « Cette œuvre
est dédiée... » en allusion à la lumière croissante.
Beaucoup aujourd’hui utilisent Internet non pas pour propager la vérité, mais pour calomnier dénigrer, et salir la réputation d’un serviteur de Dieu bien qu’il soit mort. Ils utilisent la tactique de l’adversaire, donner une illusion de vérité, avec un nombre invraisemblable d’erreur. Ils salissent ainsi l’œuvre de la Vérité, nous savons que leurs intentions ne sont pas inspirées par le Seigneur. Beaucoup de personnes déçues par les Témoins de Jéhovah sont les principales victimes.
C. T. RUSSELL
Voici la confirmation visuelle qui a été gracieusement fournie par monsieur Gilbert Hermetz (Représentant du Mouvement Missionnaire Intérieur Laïque). La photo a été prise en 1986 alors qu'il visitait avec son épouse le cimetière où a été inhumé le Pasteur Russell.
Comme chacun pourra le constater de visu, il n'y avait alors pas l'ombre d'un temple maçonnique à l'horizon. (photo prise en 1986) |
Bien que ce site ne soit pas un site de controverse, nous pensons qu'il est utile de publier cette réfutation concernant : « LES FAUSSAIRES ANTI-RUSSELL DEMASQUES ».
Laissons
C. T. Russell répondre lui-même, dans le
volume 6 p. 640 §
1.
« Ceci
pose devant nous le problème tout entier des ordres, des sociétés, etc., et
des privilèges que possède la Nouvelle-Création vis-à-vis de ces
organisations. Est-il convenable que des Nouvelles-Créatures fassent partie de
ces sociétés ? Nous répondons que si des associations d'églises sont
purement religieuses et que des organisations ouvrières d'entraide sont, en général,
purement laïques, il y en a d'autres encore qui ont des aspects religieux et
des aspects laïques. D'après ce que nous comprenons, par exemple les Francs-maçons,
les Old-Fellows, les Chevaliers de Pythias, etc., accomplissent certains rites
et certaines cérémonies de caractère religieux. Qu'il soit bien entendu que
nous ne poursuivons aucune campagne hostile contre les membres de ces divers
ordres, pas plus que nous ne le faisons contre les divers systèmes religieux
sectaires. Nous mettons sur le même pied tous les systèmes qui comprennent des
cérémonies et des enseignements de caractère religieux, etc., et nous les
considérons tous comme des parties de Babylone, dont certains quartiers sont
plus propres et d'autres moins propres, mais qui tous, néanmoins, sont pleins
de confusion, d'erreur, contrairement à l'intention divine telle que la révèle
l'organisation de l'Église primitive, et aux instructions que leurs ont données,
par la parole et par l'exemple, le Fondateur inspiré et ses douze apôtres.
Nous
conseillons à la Nouvelle-Création de n'avoir absolument rien à faire avec
l'une quelconque de ces sociétés, clubs,
ordres, églises à caractère semi-religieux, mais de " Sortir du milieu
d'eux, d'être séparée et de ne pas toucher à ce qui est impur " (2 Cor.
6 : 17). Leurs possessions, leur culte, leurs enseignements, leurs doctrines,
nous sont impurs, bien qu'ils puissent ne pas l'être à eux-mêmes. Les yeux de
notre entendement ont été ouverts, et à présent toutes choses nous
apparaissent sous un jour nouveau, en sorte que nous haïssons maintenant des
choses que nous aimions autrefois, et que nous aimons maintenant des choses
qu'autrefois nous haïssions »
Voir aussi — 1895 ; Zion's Watch Tower, June, 1895, pg. 143 « Nous remarquons que l’Ordre des Francs-maçons, si l’on en juge par son histoire passée, a quelque but ou plan secret, au-delà de celui de la fraternité et de l’aide financière en cas de maladie et de décès. Et, dans la mesure où nous pouvons en juger, il y a une certaine somme d’adoration profane ou de parodie rattachée à des rites de cet ordre et quelques autres, que ses membres ne comprennent pas mais qui, dans de nombreux cas, sert à satisfaire certains besoins physiologiques de l’esprit humain pour l’adoration, et qui l’empêche de rechercher la vénération de Dieu en esprit et en Vérité — à travers Christ, le seul Médiateur et Grand Maître désigné. Dans la mesure où de telles sociétés dissipent un temps précieux dans des rites et cérémonies stupides, insensées, et en substituant le culte de leurs représentants, et l'emploi de mots et de symboles qui n'ont aucune signification en eux-mêmes, pour l'adoration de Dieu, dans sa voie fixée — par Christ et selon la connaissance et l'esprit de sobre bon sens — dans cette mesure même ces sociétés sont des maux graves, quels que soient les gains ou les pertes en rapport avec l'appartenance à celles-ci. »
Il
y a également la page
524 du livre de questions
Certaines
personnes aujourd'hui, se délectent dans la calomnie et la diffamation, alors que
leur connaissance de C. T. Russell et de ses écrits est comme le désert du
Sahara, en partie extrêmement aride, avec de vastes étendues désertiques
apaisées par une oasis occasionnelle.
Nous vous encourageons, à prendre garde à vos sources. Internet met à
disposition le doux et l’amer, il y a de multiples sources de vérités et
d’erreurs. Ne prenez pas pour argent comptant ce que vous lisez. Rappelez-vous
le conseil toujours mis en application par Charles Taze Russell, « Qu'il ne sorte de votre bouche aucune
parole mauvaise, mais, s'il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l'édification
et communique une grâce à ceux qui l'entendent »
—
Ephésiens
4 : 29.
Il commente ce texte comme ceci : « Le goût dépravé s'abrite derrière la conscience pour affirmer qu'il est toujours bien de dire la vérité, et que, par conséquent, Dieu n'a certainement pas voulu dire que l'expression de la vérité est de la diffamation, mais qu'en condamnant la médisance et la calomnie comme des œuvres de la chair et du diable, il doit avoir entendu le fait de raconter des choses fausses, ou perfides.
C'est une grande erreur. Que la diffamation soit vraie ou fausse, c'est toujours de la diffamation. Elle est ainsi considérée, non seulement par la loi de Dieu, mais aussi par les lois des nations civilisées.
Diffamer, c'est dire une chose vraie ou fausse avec l'intention de nuire à un autre.
Les lois des
hommes s'accordent avec la loi de Dieu pour déclarer que c'est une chose
mauvaise que de causer un tel préjudice à autrui ».
Si ceux qui dénigrent avaient lu et étudié les écrits de C. T. Russell, ils seraient confus de honte et certainement ils imploreraient l’Éternel d’avoir eu de telles pensées vis à vis de Son serviteur.
UN POINT HISTORIQUE ECLAIRERA, CE QUE PEU DE GENS SAVENT
CONCERNANT
LE LIEN, ENTRE RUSSELL ET LES T. DE J.
Pour
quelle raison beaucoup font un amalgame entre C. T. Russell et les T. de J. ?
Les dates parlent d’elles même.
Le décès de fr. Russell — 31 Octobre 1916.
T. d. J. — fondé 1931.
C'est
en 1917 que le juge Rutherford, grâce à un subterfuge et des subtilités
juridiques, prit possession de cette organisation, de sa revue « the
Watch Tower », (nom changé plus tard en « The
Watchtower »). Il abandonna la majeure partie de son œuvre et de
ses « Études dans les Écritures »
etc. Imité en cela par ses successeurs, il en changea grandement les idéaux,
croyances, enseignements, méthodes et surtout l'esprit de tolérance.
En 1929 intervint l’arrêt de la diffusion des Études dans les Écritures
par la Société (13 ans après le décès de fr. Russell).
La
tactique du grand adversaire est toujours identique à elle-même, elle ne varie
pas ; ses messages contre-faits ne sont pas nécessairement entièrement faux,
mais souvent composés de larges portions de vérité habilement juxtaposées à
l'erreur de façon, à jeter le trouble dans l'esprit du chrétien et à l’éloigner
progressivement du Seigneur et de la pureté de son message.
Le
fidèle étudiant de la Parole sait bien que les suppositions, les imaginations
hasardeuses ne sanctifient pas. C'est la vérité qui
sanctifie. Ceux qui ont lu
2 Pi. 1 : 16 et 1 Jean : 3 : 1-3 savent que les apôtres ne basèrent pas leurs
messages sur leurs propres conjectures, mais sur leur connaissance personnelle
des faits dont ils avaient été les témoins oculaires.
Et
ceux qui ont connu C. T. Russell comme docteur de l'église des derniers temps, se
souviennent bien aussi qu'il était ennemi de toute inclination à tabler sur
des hypothèses.
Que dirait notre cher
Fr. Russell s'il savait que ses volumes ont été
refusés à de fidèles colporteurs qui désiraient ; dans l'esprit du Maître,
poursuivre son travail ?
Aujourd’hui beaucoup de T. de J. sont heureux de pouvoir consulter
les écrits de C. T. Russell sur le site :
http://ctrussell.fr
Les T. de J. ont gardé quelques vérités données par Russell, mais la majeure
partie ont été abandonnées par les dirigeants de la Société.
C’est
pourquoi nous faisons une grande différence entre les T. de J. souvent sincères,
et l’organisation qui est responsable de cet état de chose. C'est bien là, l'état
d'esprit qui a permis le développement de l'oligarchie papale. Pour arriver au
pouvoir et s'y maintenir, les ambitieux utilisent la Vérité comme un tremplin
; par des concessions subtiles aux dépens de cette dernière, ils augmentent le
nombre de leurs partisans : en se faisant passer pour le seul Canal par
lequel on puisse approcher de Dieu, ils se font respecter en même temps
qu’ils se font craindre.
Quel
contraste singulier, depuis la mort du cher Pasteur ! quel tintamarre
autour du « canal » et de la « Société » !
Il n'est pas exagéré de dire que pas un mois ne s'est écoulé sans que la W.
T. ne contînt au moins un article destiné à faire pénétrer, comme à coups de marteau répétés, dans le cerveau des frères,
cette pensée que la SOCIÉTÉ est le seul « CANAL
» ! mot dont les agents de cette Société, également, émaillent chaque
phrase de leurs discours aux ecclésias.
Le
résultat de cette campagne tenace est que beaucoup de frères et sœurs timorés
ont voué à cet organisme humain un respect qui tient d'un culte et en éprouvent
une telle crainte idolâtre qu'ils n'osent plus envisager même l'idée d'un
examen critique de ses productions, comme le recommandent les Écritures « Or
ceux-ci étaient plus nobles que ceux de Thessalonique ; et ils reçurent
la parole avec toute bonne volonté, examinant chaque jour les écritures [pour
voir] si les choses étaient ainsi. »
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